Citeden publie le livre blanc de la construction industrialisée pour le logement

Publié par AgCommuniques le

Nouvelles technologies, nouveaux rythmes de vie, … le secteur du logement n’est pas le moins impacté par les évolutions sociétales actuelles, il en est même un enjeu majeur : extension des zones urbaines, vieillissement de la population, accélération sociale, hausse constante de la population étudiante, sont autant de défis auxquels les constructeurs doivent faire face afin de proposer des réponses concrètes. Dans cette situation, la construction industrialisée se révèle comme un nouveau modèle, une alternative sérieuse à la construction conventionnelle, pour répondre aux enjeux contemporains de la réalisation de logements. En tant que professionnel du secteur, Citeden publie à ce sujet le livre blanc « L’habitat de demain : nouveaux enjeux, nouvelles réponses ».
Répondre plus efficacement aux besoins de logements
Selon une étude INSEE[1], le nombre de personnes âgées de plus de 85 ans sera multiplié par 3,5 d’ici 2070. De 2010 à 2015, 231 000 étudiants ont rejoint les rangs. Et on estime à environ -150 000/an le déficit de construction de logements dans le parc privé et social ces dernières années par rapport aux 500 000 logements prévus, essentiellement pour des raisons de coût et de multiplication des normes[2].
Les faits sont là : face à l’urgence de livrer chaque année davantage de logements, la construction conventionnelle répond par des programmes immobiliers structurellement plus longs. L’écart entre le besoin et la réponse ne fait ainsi que s’accroître.
Avec un procédé constructif deux à trois fois plus rapide, la construction industrialisée est en mesure de répondre sans aléa aux besoins des donneurs d’ordre de l’habitat public et privé.
Sortir de la logique conventionnelle de standardisation, s’adapter aux choix architecturaux, s’ajuster aux contraintes de l’emprise foncière, la construction industrialisée donne vie à des projets plus rapides, plus intelligents et plus responsables.
Répondre aux enjeux de l’accélération sociale avec une nouvelle manière de penser la construction
Acier, béton, bois : la construction industrialisée repose sur la mise en œuvre des mêmes matériaux qui ont fait leurs preuves dans la construction conventionnelle. Lancer la fabrication en usine au moment où l’on commence à préparer le site à bâtir, c’est évidemment s’ouvrir la possibilité de mener les deux projets de front plutôt que de manière successive. Le fait d’assurer jusqu’à 90 % de la construction des bâtiments en usine est un gage de rendement et de qualité de la production. Il garantit le respect des modes opératoires, un bon ordonnancement des compétences, des contrôles systématiques à chaque étape.
La fin des incertitudes : parce qu’elle lève bon nombre d’aléas et d’incertitudes liés aux chantiers conventionnels (conditions climatiques, acheminements des matériaux, coordination des différents corps d’états, etc.), la construction en usine sécurise le calendrier du projet dans des proportions considérables.

Optimiser le retour sur investissement par une mise en exploitation accélérée des bâtiments
Seule la construction industrialisée permet au maître d’ouvrage d’apprécier et de valider aussi précisément le niveau de finition d’un projet avant sa mise en production en série. Cela permet de réduire drastiquement les périodes de levées de réserves, fréquemment constatées à la livraison des bâtiments conventionnels. Quelle que soit sa taille, une journée de chantier sur site coûte 10 fois plus cher qu’une journée préparatoire de chantier en usine. Or, 90 % de la construction industrialisée s’effectue en usine.
L’évolutivité des bâtiments ou l’intelligence de la construction industrialisée
Elle préfigure qu’un bâtiment pourra aisément être transformé et adapté au gré de l’évolution des usages. La redistribution des espaces intérieurs, l’ajout d’étages ou d’extensions tout au long de la phase d’exploitation du bâtiment constituent des opérations beaucoup plus aisées que dans le cadre de la construction conventionnelle.
Un temps d’avance sur les nouvelles normes environnementales : les objectifs RBR 2020 déjà atteints
Parce qu’elle répond aux enjeux environnementaux d’aujourd’hui et de demain, la construction industrialisée -et notamment sa filière sèche- permet de construire des bâtiments avec une faible empreinte environnementale, une optimisation normative de la RT 2012 et surtout, une véritable anticipation sur la RBR 2020.
Avec des performances de 20 à 25 % supérieures par rapport aux limites fixées par la réglementation (RT 2012), les résultats obtenus sur les plans thermique et acoustique prouvent son efficience et sa maturité. Cela grâce au mix des matériaux acier, béton et bois. L’acier se recycle à 100 %, pendant que la dalle béton se valorise sous forme de granulats. De son côté, le bois se traduit de fait par un bilan carbone neutre a minima.

  • Délivrer dès aujourd’hui les bâtiments aux normes de demain : objectif RBR 2020 atteint !

Le Bepos, bâtiment à énergie positive, repose sur deux grands principes : une diminution des besoins en énergie du bâtiment et une intégration d’une partie d’énergie renouvelable pour dépasser ces besoins. La première tranche d’objectifs s’inscrit dans la lignée du cahier des charges de la RT 2012, la seconde anticipe sur la future norme de référence : la RBR 2020 (Réglementation Bâtiment Responsable), une norme qui ajoutera aux exigences thermiques un volet énergétique conséquent et qui intégrera aussi la notion de constructeur responsable.

  • Une responsabilité récompensée

La RBR 2020 lance un nouveau Label Energie-Carbone qui définit 4 niveaux « Energie », le niveau 4 étant le plus exigeant (0 kWhep/m2 pour l’ensemble des consommations), et 2 niveaux « Carbone », le niveau 2 étant le plus exigeant. Les bâtiments Citeden répondent d’ores-et-déjà à ces critères et à l’appel des pouvoirs publics qui préparent l’avenir en offrant un bonus de constructibilité de 30 % à la maîtrise d’ouvrage qui s’engage. 
Citeden publie le livre blanc « L’habitat de demain : nouveaux enjeux, nouvelles réponses ». Ce document de référence livre dès aujourd’hui les réponses concrètes de la construction industrialisée aux enjeux de l’habitat de demain.
 [1] Source Insee – Novembre 2016
[2] Source : étude Price Waterhouse Cooper 2016
À propos de Citeden
Le Groupe Cougnaud est le leader français de la construction industrialisée. Dirigé par Eric, Patrice, Jean-Yves et Christophe Cougnaud, son actionnariat est 100 % familial. En 2016, le Groupe emploie 1 300 salariés, dont un bureau d’études de 100 experts Tous Corps d’Etat intégrés. Il dispose de 3 sites industriels, soit 80 000 m2 d’ateliers, et de 5 agences commerciales implantées dans les principaux bassins économiques français : Paris, Lyon, Marseille, Nantes et Toulouse. Le Groupe Cougnaud est organisé en trois branches d’activité : Cougnaud Construction, Cougnaud Services pour la location opérationnelle et Citeden pour l’habitat. Missionné par les promoteurs immobiliers, investisseurs et bailleurs publics et privés ou collectivités, Citeden réalise des constructions industrialisées pour différents usages : résidences étudiantes, foyers pour les jeunes travailleurs, établissements d’hébergement pour les personnes âgées dépendantes, mais aussi des logements collectifs, maisons groupées ou en bandes. Pour l’exercice 2015-2016, le chiffre d’affaires du Groupe atteint 250 M€.
Lien de consultation du livre blanc « L’habitat de demain : nouveaux enjeux, nouvelles réponses » :  http://tiny.cc/livre-blanc-citeden